« Ce ne sont pas les autres qui s’engagent dans un changement mais moi, et moi seul. »
Il est commun de penser que lorsqu’on est seul à croire en quelque chose, il serait plus prudent de renoncer…Certes, cela semble plus simple et n’engage à (presque) rien. Mais que direz-vous dans quelque temps (voire quelque mois, années…) lorsque vous repenserez à cette période où une opportunité faisait que le changement était possible ? Comment vous jugerez-vous si vous n’êtes toujours pas plus satisfait de votre sort ? Manquer le coche n’est pas un drame et cela ne nous empêche pas de continuer notre route. Mais c’est la même route, et c’est là que le bât blesse.
Que faire alors ? En premier lieu, s’assurer que les conseils des proches sont réellement pertinents : qu’est-ce qui les motive ? Est-ce mon bien-être ou la peur de me voir m’épanouir et pas eux, voire « sans » eux ? Hélas ce n’est pas facile et les certitudes ne sont pas forcément au rendez-vous.
Elargir son horizon et, pourquoi pas, se faire accompagner
N’hésitez donc pas à élargir votre périmètre de consultation. Des personnes sans lien affectif avec vous auront certainement une analyse dépassionnée et moins personnelle de votre situation et de vos aspirations. Ces nouveaux interlocuteurs n’auront pas peur de vous perdre et ne seront pas guidés par la jalousie. Vous pouvez objectivement espérer un avis, positif ou non, fondé sur la raison. C’est bien ce que vous chercherez à l’heure des choix et des décisions qui en découleront.
Faire appel à un coach peut être un bon réflexe pour s’engager dans une démarche dont l’objectif est bien souvent de transformer votre vie. Car il s’agit bien de votre existence et, pour prétendre au changement, vous devrez en être le moteur et l’acteur principal, surtout si vous craignez d’être seul(e) à y croire.
- Texte et photo ne sont pas libres de droits © Jacques Liénard -
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